1 mars 2007
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Le premier jour, nous voici partis, assis à l'arrière d'un petit camion : après une demi-heure à rouler sur une route qui traverse une brousse de cocotiers quasi-infinie, nous arrivons à un bout de l'île. Magnifique plage, cocotiers, mer bleue transparente.
Sous la supervision de Mama Coco, nous préparons nos assiettes pour le repas, en tressant des feuilles de cocotiers.
Pendant ce temps, Papa Jean allume le feu avec des noix de coco et fait cuire le uru dedans. Le uru, c'est le fruit de l'arbre à pain. On le met directement dans le feu, et il est cuit lorsque sa peau est carbonisée, puis on l'épluche, et c'est prêt à manger. Ensuite, Papa Jean met une plaque de tôle sur le feu, un morceau de grillage, et le poisson pêché le matin même est mis à griller.
Le résultat, délicieux poissons frais grillés, uru tout chaud, le tout à manger directement avec les doigts dans des assiettes végétales... Lorsqu'on a finit on fait brûler assiettes et restes... pas de déchets, pas de vaisselle, 100% naturel ! Juste préciser que c'était le meilleur poisson que j'ai jamais mangé, et que le uru, même si j'en avais déjà mangé, j'adore toujours autant : ça a un petit goût de chateigne, miam !
Sous la supervision de Mama Coco, nous préparons nos assiettes pour le repas, en tressant des feuilles de cocotiers.
Pendant ce temps, Papa Jean allume le feu avec des noix de coco et fait cuire le uru dedans. Le uru, c'est le fruit de l'arbre à pain. On le met directement dans le feu, et il est cuit lorsque sa peau est carbonisée, puis on l'épluche, et c'est prêt à manger. Ensuite, Papa Jean met une plaque de tôle sur le feu, un morceau de grillage, et le poisson pêché le matin même est mis à griller.
Le résultat, délicieux poissons frais grillés, uru tout chaud, le tout à manger directement avec les doigts dans des assiettes végétales... Lorsqu'on a finit on fait brûler assiettes et restes... pas de déchets, pas de vaisselle, 100% naturel ! Juste préciser que c'était le meilleur poisson que j'ai jamais mangé, et que le uru, même si j'en avais déjà mangé, j'adore toujours autant : ça a un petit goût de chateigne, miam !